C’était en juin dernier, pour la Fête des Pères,… j’avais répondu : « Hé bien, je ne suis pas contre un aspirateur robot ! ». En effet, j’avais repéré un modèle qui s’intégrait plutôt bien dans la maison et que les amis de Sitegeek avait mis dans le TOP 5 de recommandation : Le Dreame D10 Plus.
Marque qui m’était jusque là inconnue, comme en réalité bon nombre de modèles de robots fabriqués en Chine venant concurrencer via Amazon les marques que l’on retrouve en magasin. Si je ne suis guère enthousiaste, en général, à l’idée d’acheter des appareils chinois, je dois bien admettre qu’en la matière, côté rapport qualité/prix/technologie, je n’ai pas été déçu par mon Dreame D10 Plus !
Notons quand même qu’après de deux bons mois d’utilisation, l’interface m’annonçait qu’il fallait remplacer les balais latéraux. On peut effectivement voir une « durée de vie » pour tout une série de composant de l’appareil. Cela semble un peu énervant, mais finalement, je préfère être informé du besoin de changer des pièces qui s’usent que de constater un mauvais fonctionnement de l’appareil, comme c’était le cas il y a déjà 10 ans avec mon Samsung Navibot.
J’aurais également pu apprendre comment nettoyer les filtres et comment y avoir accès. Tout se trouve bien expliquer dans l’application.
Mais un point est resté à m’ennuyer durant ces derniers mois. Par moment, lorsque le robot a été trop déplacé manuellement, ou si sa base de recharge a bougé (ce qui arrive parfois quand madame fait le ménage), la cartographie des lieux se retrouve légèrement décentrée, le robot ne respectant plus alors correctement sa tournée.
2024 tire doucement sa révérence, mais déjà depuis un petit moment, mon fichier statistique des bons films vus cette année me présentait un bilan plus que positif et largement au dessus des années précédentes. En effet, en 2024, nous aurons regardé 39 bons films, c’est près de 10 de plus qu’en 2022 et même un chiffre plus élevé que celui des 10 dernières années.
Ai-je revu mes critères à la baisse ? C’est possible, j’ai peut-être parfois été plus vif à mettre un 8 sur certains films après avoir passé une bonne soirée, même si je n’ai pourtant pas l’impression d’avoir été fort différent dans mon approche que les années précédentes. Finalement ce qui aura peut-être eu un impact et le nombre de série regardée cette année. Un élément statistique que je n’ai jamais pris le temps de partager ici… Soit 9 séries de moins en 2024.
Reste que j’avais supprimé l’abonnement Disney+ cette année et décidé d’aller voir moins de film au Cinéma (voire aucun)… Et finalement, nous serons allés voir 5 bons films au Cinéma dont des Disney…
2024 avait plutôt pris un bon départ, manette en main. Nous clôturions, madame et moi, Hogwarts Legacy et Final Fantasy XVI durant l’hiver avant de se lancer dans la 2° partie du tout nouveau Final Fantasy VII. Je profitais régulièrement des moments d’attente des enfants au Karaté ou à la danse pour découvrir tout une série de jeux sur ma Nintendo Switch ou approfondir la découverte d’anciens jeux Game Boy Color, comme j’ai déjà pu vous en présenter.
Mais petit à petit, le temps à manquer, et il faut bien l’admettre, rares furent les moments où j’ai pu jouer depuis la rentrée de septembre, me laissant dès lors un peu de frustration lorsque je prends le temps pour me poser sur cette année vidéoludique.
Les Tops 2024
Malgré un bilan qui semble donc moins reluisant que les années précédentes, je retiens 3 moments « Top » de cette année 2024 marqué.
Final Fantasy VII : Rebirth – PS5 (Square Enix, 2024)
Attendu depuis quelques années, nous avions hâte, Madame et moi, de retrouver Cloud, Tifa et Barrett, les héros de Final Fantasy VII dont nous avions commencé l’aventure durant le confinement, en 2020 avec la première partie de l’incroyable remake du jeu d’aventure de Squaresoft, sorti initialement sorti sur la première PlayStation en 1997. Cette suite, reposant dorénavant sur la puissance de PlayStation 5, allait nous emmener hors des enceintes de Mitgar, traversant de nombreux environnements ouverts, ou tout du moins semblant l’être.
Même si plusieurs critiques pourraient être retenues sur les choix posés sur ce Final Fantasy VII : Rebirth qui parfois m’auront enthousiasmé et d’autres lassé, je garde de ce voyage vidéoludique une aventure passionnante. Si pour certains joueurs, devenir un expert du Queen’s Blood aura peut-être été énervant, nous avons pris plaisir à ces mini-jeux de deck récurrents au sein de l’univers. En revanche, les quêtes redondantes pour attraper un Chocobo, voire pour le dresser à réussir des sauts en plein vol se seront montrées particulièrement pénibles, nous laissant parfois mettre le jeu de côté plusieurs semaines.
Si l’histoire et surtout, les personnages nous auront marqués, il me faut bien admettre que le moteur de graphique ne tient pas la comparaison avec l’incroyable travail réalisé par les équipes de Guerilla Games et la série Horizon. Même si à l’écran, certains environnements sont chatoyants, j’ai souvent eu cette impression de marcher sur des textures. Néanmoins, même s’il y a plein de petites choses que j’aurais préférés autrement dans cette suite de l’aventure, il n’empêche que je garde un souvenir particulièrement positif de nos heures passées sur Final Fantasy VII : Rebirth.
Car oui, comme j’avais déjà eu l’occasion de le partager quelques semaines au par avant, durant l’envie de remettre les pieds dans le monde de Horizon s’est fait sentir. Probablement à ce jour, le plus bel environnement vidéoludique que j’ai pu parcourir !
Lassé du schéma narratif de FFVII, nous nous sommes plongés dans le DLC, épisode complémentaire, Burning Shore. Je ne suis pas vraiment amateur de ce genre de pratique, mais avec Burning Shores, j’ai vraiment eu le sentiment d’en avoir pour mon argent, d’avoir pu me replonger avec plaisir dans l’univers de notre jeu préféré avec néanmoins suffisamment de nouveautés dans le gameplay, l’histoire et les lieux à visiter… Et je dois bien admettre que pouvoir s’évader de la sorte nous aura fait grand bien ! (A lire : Un été à Los Angeles avec Aloy)
Il me donnait vraiment envie depuis plusieurs années, j’ai enfin pu découvrir Tunic en juin dernier avec mon abonnement PlayStation+. Tombé sous le charme, ce moment magique allait se stopper net en découvrant qu’une fois l’abonnement interrompu, il ne m’était plus possible d’y jouer. Il me faudra encore attendre quelques semaines pour pouvoir redémarrer et poursuivre l’aventure de cet étrange jeu d’aventure et exploration sur ma Nintendo Switch, avec une jolie version collector qui apporte un peu plus de magie.
Si l’on retrouve une ambiance qui rappelle effectivement les épisodes vu de haut de la série The Legend of Zelda, le titre indé puise également beaucoup dans l’exploration et la découverte, à l’image par exemple de FEZ, un autre titre que j’aime tout particulièrement. On découvre petit à petit le monde et sa cosmétique flat/rétro ainsi que les mécaniques pour y progresser, se défendre et résoudre des énigmes. L’un des éléments clés de Tunic est entre autres la quête du manuel du jeu, qui nous permet de petit à petit comprendre où aller, comment,… et qui sait peut-être même décrypter les idéogrammes des différents menus pour les plus courageux. (A lire : Sous le charme de Tunic)
Oui, c’est bien le sentiment qu’il nous reste ce 26 décembre… Même si, comme de coutume, nous avons commencé à penser à Noël depuis la fin de l’été. À imaginer puis mettre en place les 3 scènes de Noël dans notre studio Petite Snorkys, transformant même la maison en atelier de cuisine du Père Noël. Si nous sommes allés faire un petit shooting photo en famille du côté de Diest avec Nancy Kimps fin octobre… Tout le reste s’est évaporé en un temps record…
Pourtant, pas de sortie entre amis à Center Parc cette année. Nous nous étions concentrés sur les 13 ans d’Alice et Juliette, la Saint Nicolas, les 9 ans de Rose, les fêtes avec les copines et les nombreux matchs de Basket sans oublier les examens à l’école, qui n’en sont pas vraiment, mais qui comptent quand même !
Pif, Paf, Pouf, et voilà déjà l’heure d’écouter chanter Rose à l’école, de vivre la Messe de Noël de Vivre & Aimer puis de se torturer les méninges avec la famille sur comment nous organiserons Noël.
Pas le temps de trainer dans les magasins illuminés et les décorations de Noël. Nous avions bloqué un seul dimanche pour tenter une petite journée sur un Marché de Noël. Peut-être Bruges, ou Montjoie pour aller un peu moins loin… Voir celui de Liège, mais la météo pluvieuse, brumeuse, froide et accompagné d’une bonne petite tempête aura mis à sac ce modeste projet pour tenter de vraiment vivre l’attente de Noël…. Nous y étions déjà.
Rassemblés, en famille avec néanmoins, dans un petit coin plus ou moins grand de notre tête ou de notre cœur, une partie de nos pensées tournée vers Papy dont la santé est au plus bas.
Heureusement, aurons-nous pu compter sur les farces de Lulu et Tintin venus mettre le bazar à la maison depuis quelques semaines. Pfiiuh, les voilà retournés voir le Père Noël, bien qu’ils aient promis à Rose de venir nous retrouver l’année prochaine !
Ding Daing Dong, et Noël a sonné. Les cadeaux déballés, le sapin nu… Noël n’est déjà plus qu’un souvenir qui fond comme neige au soleil. Merci Père Noël pour tes beaux cadeaux, et bonnes idées… Nous voilà déjà à préparer la nouvelle année.
Alors, à vous tous qui êtes chers à mon coeur, je vous souhaite un Joyeux Noël. N’hésitez pas à revenir… d’ici l’année prochaine, peut-être madame aura-t-elle eu le temps de travailler quelques photos pour venir illustrer ce petit article souvenir.
Je m’étais dit l’année dernière : La prochaine fois, je prépare un peu plus tôt ma liste au Père Noël histoire qu’il puisse s’organiser et que cela donne des idées à d’autres Geek comme moi. Mais cette année, avec tout le bazar de ces derniers mois, vous savez les copyright et tout cela, j’ai un peu perdu le plaisir de mettre de coté des idées, d’envisager utiliser des images pour illustrer mes envies et mes découvertes. (J’ai donc choisi une belle photo de notre Noël 2021 où j’avais été surpris par un super 33tour de Dorothée !!)
On est pourtant dans une démarche tout ce qu’il y a de plus personnelle, qui par ailleurs ne peut qu’être profitable pour les marques, magasins ou même site web qui parle de tout cela. Mais rien qu’à devoir justifier à chaque démarrage de poste tout ceci montre que j’ai toujours une rancoeur, autant qu’une incompréhension de l’aventure de ces derniers mois.
C’est qu’en soit, j’ai tout une série d’idée que j’ajoute tant dans mon album Facebook que sur mon tableau Pinterest. En temps normal, j’aurais même commencé mon article par une capture d’écran de celui-ci, présentant toutes mes idées. Entendons-nous, un éditeur de Jeu-vidéo, de jeu de société, de Bande dessiné ou d’un super synthétiseur ne va probablement pas m’attaquer pour avoir utiliser des images de son produit… Mais comment être certain que l’image du Tower Up, récupérée dans Pinterest est bien la propriété de Monolith Games. S’il s’agit d’une image réalisée par un autre personne, pourrait-elle m’attaquer? Il est probable qu’un autre Bloggueur ne le ferait pas. Surtout s’il est crédité et que je cible son Blog dans mon article.
Mais il y a bien évident toujours maintenant cette crainte de choisir une photo tirée d’une banque de données payante, qui aidée de ses robots IA, viendra m’attaquer sans que je ne puisse me défendre. Et croyez-moi, un tour sur Alamy, et vous pourrez trouver bon nombre d’images de contenus aux allures anodins qui pourraient vous mettre dans la mouise. Fuyez les contenus de ce site… Même s’il est loin d’être le seul.
Comme bien d'autres sites web et Blogs, ici aussi nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience web. En continuant votre visite, vous acceptez l'utilisation de cookies.